Cité sur la rive de l'ennui (PV Sanji)

Dans une ville atteinte par le péché de la luxure jusqu'aux tréfonds de son système, un policier servait une justice: sa justice. En partant du principe que tout lui était permis, on peu aisément déduire les diverses activités peu louables auxquelles il s'était livré depuis son affectation à Ryoosei. Si on peut compter des actes brutaux sur des demoiselles innocentes, il est lui-même le premier corrompu de la région. Acheter sa liberté contre des billets, n'était-ce pas là un merveilleux sens des affaires? Et en cette journée, le voilà en train de vagabonder à droite à gauche en cherchant quelque chose à se mettre sous la dent, non pas qu'il avait faim de nourriture, bien au contraire. Sous ses apparences amicales, le policier était proche du pire des pervers du coin. Mais qui pourrait le deviner? De loin, c'est un homme simple, vêtu d'un pantalon noir, une veste en cuir ouverte sur un t-shirt blanc pourvu de motifs tribaux et pour finir une chaine dorée ornant discrètement son cou. En fin de compte, il n'avait pas l'air non plus d'un policier.Toutefois, c'est en passant inaperçu qu'il faisait ses meilleurs trouvailles.

Ses pas avaient fini par le mener jusqu'au parc, sans but précis, il regardait les mères qui courraient après des enfants atteints d'une envie furieuse de courir n'importe où histoire de les mettre dans tous leurs états. Il voyait des chiens qui gambadaient vers la balle de leur maitre, une activité qu'il trouvait ô combien ennuyeuse. Et ensuite, il y avait les fameux coins d'amoureux. Un regard ampli de dégout leur était à ce moment là adressé, quel sentiment inutile que "l'amour". Dans ce monde, on ne pouvait que compter sur soi-même et on devait se servir là où on veut! Telles étaient ses règles à lui. Les mains dans les poches, il continuait d'avancer sur le chemin de terre qui passait le long de l'étang jusqu'à ce que des paroles anodines agrippent son attention. Même, la personne qui les avait prononcée, d'instinct, semblait bien différente de toutes les filles qu'il avait pu attraper. Enfin quelque chose à se mettre sous la dent? Il fallait vérifier ses atouts avant de trop s'avancer.

D'un pas nonchalant, il se retournait, mine de rien, vers le banc et vint s'asseoir sans gêne à côté de celle qui ressortait sérieusement du lot. Sur son visage était peint un ennui sans nom, un dégout pour cette ville comme elle l'avait témoigné tout haut quelques secondes avant. Sanji tourna le visage vers elle en la détaillant sans s'en cacher, puis finit par lacher tout en allumant une cigarette:

"Cette ville est bien plus intéressante que vous ne le pensez. Il suffit de savoir qui chercher et où le chercher."

Sans grande prétention, il était celui dont elle avait besoin si jamais elle voulait égayer sa journée. Il se retint malgré tout de le lui faire savoir. A la place, il restait silencieux, tirant simplement sur sa cigarette à intervalle régulier. Son geste naturel de prendre sa cigarette en bouche témoignait d'une habitude désinvolte à abuser de la chose n'importe où, n'importe quand. Ses yeux s'étaient plissés en deux fentes, un peu ébloui par les rayons de soleil qui se reflétaient sur l'étang aux canards. Histoire de bien s'installer, le policier finit par détendre ses jambes devant lui, puis passer un bras sur le dossier du banc, sans gêne et malgré tout avec une certaine classe indescriptible. La position en elle-même laissait à désirer, mais le calculateur était sur sa proie, elle avait toute son attention, d'autant plus qu'elle était délicieuse à observer.

S'imposant comme le prédateur sans crainte, avec une sureté sans égale, Sanji retomba rapidement dans la dure réalité des choses, aussitôt que la fille reprit la parole. D'habitude, ce genre d'approche donnait sur une réaction différente, un éveil d'intérêt, ou un début de conversation amical dans le meilleur des cas. Jamais Sanji ne s'était heurté aussi violemment à un mur, à croire qu'il aurait sérieusement dû mettre une ceinture de sécurité avant de se risquer auprès de l'étudiante. Plus intéressé que jamais, le jeune homme ne se laissa pas pour autant déstabilisé et éclata de rire bruyamment. Un caractère bien trempé, elle n'allait vraiment pas jouer en sa faveur. C'est bien ça qui allait rendre les choses palpitantes. Maintenant il fallait relever la tête, prouver qu'il n'était pas n'importe qui, sans pour autant déballer des titres à tord et à travers, elle ne ferait que le remettre à sa place avec autant d'aisance que précédemment. Haussant les épaules, il ajouta alors:

"Je ne faisais que répondre à ton appel. Tout ton corps cri son envie de voir quelque chose de différents, est-ce que j'ai tord sur ce point?"

D'accord, à la trappe le vouvoiement. Il avait jugé ça plus poli, mais il est vrai que cette approche avait quelque chose de dépassé dans la manière de faire. Peut-être qu'il se faisait vraiment vieux pour ce genre de choses, ou bien que son adversaire était difficilement impressionnable. Il fallait donc rehausser le niveau pour lui prouver qu'il n'était si mauvais. Intérieurement, le désir que lui inspirait l'étudiante s'élevait vertigineusement. Le fruit défendu est toujours celui auquel on aspire le plus. Croquer dedans serait une véritable extase si il y parvenait mais il en était encore bien loin. Ne sachant rien d'elle, le policier ne pouvait pas deviner si elle était de mauvais poil, qu'elle ne se laissait pas facilement aborder par définition, ou quelqu'autre facteur. Il devait se montrer prudent et subtile, choses qui lui étaient hélas inconnues.


"Je ne suis personne, du moins, personne de particulier mais en me laissant une chance, qui sait sur qui tu vas tomber?"

Il la voyait venir de loin, la claque qui était sous la forme d'un panneau "pas intéressée". Malgré tout, il fallait s'accrocher et supporter la tempête jusqu'à ce que le vent décide de rendre les armes. Sanji était prêt pour l'affrontement si nécessaire, bien qu'il commençait à avoir des doutes quant à sa victoire au départ si certaines.

On dit souvent que le second cœur de l'homme se trouve dans son ventre, mais Amia avait toujours su que le cœur de l'homme se trouvait réellement entre ses jambes. Dès qu'elle avait fait la rencontre de son interlocuteur, elle avait compris qu'il ne vivait pour assouvir ce besoin. En temps normal, elle aurait simplement changé d'endroit. Pas par peur, ça aurait été contraire à ce qu'elle est, simplement par exaspération, mais en ce moment elle avait un objectif de fixé. Celui qu'elle avait considéré comme un prédateur était désormais devenu la proie et il ne l'avait même pas encore réalisé. Il pensait encore être en contrôle de la situation. C'est ce qu'elle croyait, jusqu'à ce qu'elle croise son regard. La défaite semblait déborder de ses yeux, il éclatait même de rire, sûrement pas panique. Par contre, il n'avait pas abandonner, il avait décidé de continuer sa mission. Il était tenace, peut-être qu'il en avait plus à offrir qu'elle le pensait.

Quand il pose sa première question, elle n'a aucune réponse. Elle hausse un sourcil comme si elle lui demandait par un mouvement facial si c'était tout ce qu'il avait à offrir, si c'était ce qu'il pouvait faire de mieux. Elle reste silencieuse pendant quelques secondes. Pendant ces quelques secondes, elle s'allume une nouvelle cigarette qu'elle allume cette fois avec un paquet d'allumettes. Par la suite, elle recrache la première bouffée et recommence à boire un peu. Elle se rappela par la suite qu'elle s'était fixée un objectif qu'elle avait déjà oublié. Elle reprit le contact avec la réalité qu'elle avait perdu dans les dernières secondes, quand il décide de s'introduire. Elle s'attend à un simple nom, peut-être une profession quelque chose, mais il décide de répondre par une phrase très floue. Elle réagit de façon exagérée face à sa réponse, ses yeux se plissent et sa bouche s'ouvre par surprise. Elle ne pouvait concevoir que c'était de cette façon qu'il allait s'introduire. Elle se demandait qui lui fournissait sa drogue. Elle laisse quelques secondes passer avant de répondre, puis en le regardant directement dans les yeux elle ajoute d'un ton moqueur:

''C'est comme ça que tu te présentes ? C'est si compliqué de commencer une phrase par un simple; ''Je me nomme...'', c'est vraiment si compliqué ?''

Encore une fois elle recommence à fumer, et réalise que pour la réussite de son plan d'humiliation elle allait devoir s'ouvrir un peu. Elle ajoute d'un ton et accompagné d'un sourire débordant d'une douceur et d'une innocence déconcertante en contraste à la façon dont elle s'était adressé à lui les premières fois:

''Je vais même ta faciliter la tâche, moi c'est Amia Far..tu n'as pas besoin de savoir mon nom de famille, c'est pas important. Alors qu'as-tu à offrir de si excitant ?''

A force d'essayer de jouer au plus malin, le policier tombait dans une réflexion un peu trop poussée. Tout comme son interlocutrice, il passait son temps à recracher la fumée de sa bouche pour se donner quelques secondes de répit. L'art de la discussion devait se faire sans grand trou car sinon l'intérêt retombe très vite. Au final, la situation s'était littéralement inversée. Le policier était accroché l'hameçon et se débattait furieusement pour y rester accrocher, alors qu'il suffirait d'un petit tremblement de la part de l'étudiante pour le laisser couler.

Bien entendu, ne pouvant pas s'avouer une défaite aussi rapide, le policier restait aveugle face à une certaine réalité. Son job le lui avait apprit, il fallait analyser la situation, rester calme. Tant de choses rien que pour une discussion, il fallait vraiment se prendre au jeu pour s'investir à ce point. A nouveau, son effet de style tomba à l'eau d'une simple question moqueuse. Là, elle l'agaçait un peu sur les bords, mais ça restait supportable. D'ailleurs, comme pour prouver qu'elle allait y mettre un peu de bonne volonté, la fille se présenta en donnant son prénom.

"Et moi c'est Sanji."

Simple, concis, il n'en fallait pas d'avantage pour le moment, il restait aux bornes de ce qu'elle avait demandé. La balle lui fut pourtant retournée très rapidement et il finit par avouer sans grande gêne la profondeur superficielle de sa pensée:

"Je pensais que nous pourrions comparer certaines aptitudes physiques, et j'aurai pu te proposer de découvrir des aspects qui t'étaient inconnus mais je me doute que ça sera aussi facile que ça."

Son objectif n'avait toujours pas changé, restait juste à trouver un moyen pour la tirer dans ses filets, la faire accepter malgré la réticence première dont elle pourrait faire preuve. D'ailleurs, était-ce le genre de personne à accepter une telle aventure avec un parfait inconnu? Ses airs hautains avaient quelque chose d'antipathique envers les plus dénués de volonté qui essayeraient de l'approcher sans réelle conviction. Lui ne lâcherait l'affaire qu'à sa victoire éclatante ou sa défaite écrasante. Son poste de policier, il n'allait pas en parler pour ne pas dégrader la réputation de ceux de la ville qui étaient déjà bien basse. Il fallait donc trouver une petite alternative.

"Hum, dis-toi simplement que je suis une personne qui a du temps libre et qui peut te montrer des aspects intéressants de Ryoosei, enfin... il faudrait déjà savoir une chose: qu'est-ce qui pourrait avoir un intérêt aux yeux de madame?"

Instable, dérangé, lunatique, tous les synonymes qui témoignaient d'un trouble de la personnalité, un penchant prononcé pour les plaisirs qu'offrait la luxure, étaient bons pour caractériser le policier. Loin d'être un modèle, il était surement la pire espèce qui puisse avoir le pouvoir. Sanji se considérait comme mâle dominant et dans cette lancée, personne n'avait la possibilité, le droit de le contredire. C'était même un devoir que de le satisfaire, si bien que la résistance continue de l'étudiante laissait un arrière gout amer dans sa bouche. Un nouveau sentiment naissait, le véritable désir, l'envie incroyablement réelle d'une personne, à un point inconcevable, il la ressentait dans ses membres et la contenait contre son gré. Malgré lui, son désir véritable fut jeté sur table, pour qu'elle soit directement mise dans le bain. En réponse, le policier reçut une gourde contenant une mixture qu'il ne parvint pas à définir à l'odeur. Ce qui était certain était sa nature alcoolisée. Inutile de s'attarder à jouer aux devinettes, alcool allait de pair avec délice. La prudence dirait de ne pas prendre la boisson d'une inconnue, mais en fin de compte, que pouvait-elle bien lui faire. La boisson coula dans sa gorge comme de l'eau et il put admettre une chose:

"Meilleure chose du mois plutôt."

Il avait un travail, un appartement, mais l'argent ne coulait pas non plus à flot. En général, les seuls plaisirs qu'il se permettait étaient en fin de semaine, dans un bar quelconque avec une bière, la boisson qu'il avait fini par détester et qu'il commandait pourtant à chaque fois. Sans se douter que la fille analysait entièrement sa personne, des manières aux éléments qu'il avait donné sur sa personne, le policier rendit la gourde à la demoiselle avec un sourire en coin.

Contre toute attente, c'est elle qui s'approcha cette fois-ci, de la manière la plus exquise. Beaucoup d'hommes sur terre auraient payé des fortunes pour ce jolie paysage qui se dessinait sous ses yeux. Le policier s'en trouva même troublé, mais clairement méfiant quant aux intentions de Amia. Les premières paroles n'étaient-elles que comédie? Est-ce que avait juste voulu paraitre fille difficile avant de révéler son grand jeu? Non, quelque chose clochait réellement chez elle, néanmoins, il lui faudrait un peu de temps avant de trouver le "quoi". Malgré tout cela, la main bien haute de l'étudiante enclencha une réaction naturelle, à basse échelle donc pas de quoi l'alarmer pour le moment. Il pouvait bien l'avouer, elle avait du charme, et elle était dangereuse à cause de cette arme.

"C'est vrai que les choses ne se déroulent pas toujours de la même manière. Non, en fait ça ne s'est jamais aussi mal passé. Mais il y a une chose dont je suis sur, c'est que ta main posée à un certain endroit était bien réelle."

Pour ne rien laisser paraitre, il croisa simple la jambe en respirant longuement et se calmer. Toutefois, le sourire que lui adressait la fille lui donna une petite bouffée de chaleur. La tentatrice qu'elle faisait là, à quoi jouait-elle! D'un coup, une crise de colère traversa son corps. Il n'avait pas à jouer à quoique ce soit, c'était lui qui donnait les règles normalement! Il s'attendrissait avec l'âge, c'était un signe de faiblesse, il fallait réagir immédiatement. Son corps se rapprocha d'un bond de la demoiselle et une main sur son ventre frôlait ses atouts volumineux. Tout comme, elle, il vint lui susurrer à l'oreille:

"Ce feu que tu voyais, il s'est allumé par ta faute, alors assumes-en les conséquences..."

Tout aussi rapidement qu'elle était venue, la colère s'évapora en laissant retomber un calme serein. Son souffle s'était accéléré, mais il n'avait plus cette envie de lui déchirer les vêtements et de la monter au milieu du parc et pourtant, l'envie et la possibilité était bien présents. Sanji jugea qu'il la mériterait à un moment ou un autre, une attente prolongée qui risquait de le mettre dans tous ses états. L'air désintéressé, il lâcha finalement sa prise sur son bassin et reposa ses fesses sur le banc, maintenant clairement plus proche de sa personne qu'initialement.

Un moment il avait perdu le contrôle, un moment suffisant pour dévoiler de nouvelles faiblesses. Il n'aimait pas patienter, il ne supportait pas de ne pouvoir obtenir ce qu'il voulait immédiatement, tel un enfant gâté qui veut son jouet aussitôt qu'il a les yeux posés dessus. Celle qu'il pensait être son jouet s'était révélée être la maitresse et lui était devenu le jouet dans ses mains sans s'en apercevoir. La vérité était devant ses yeux, mais il se refusait d'y croire en pensant qu'il avait toujours une chance de faire basculer les choses en sa faveur. Hélas, si les approches normales ne fonctionnaient pas, le policier allait finir par s'avouer vaincu. Il n'était pas inventif, ne faisait pas dans la finesse.

L'étudiante s'amusa donc en le regardant se retirer alors qu'il s'était montré d'un coup assez entreprenant. Trop de personnes aux alentours, est-ce que c'était vraiment un problème? Sanji supporta un moment les enfantillages de son interlocutrice en la laissant jouer avec sa main tout en le transperçant de toutes parts de ses paroles. Sa réaction fut immédiate lorsqu'elle posa sa main entre ses seins et qu'elle s'amusa à la passer dessus sans aucune pudeur. Le policier en avait marre de jouer de cette manière et répondit avec un rictus:

"Si c'est proposé de cette manière alors je ne refuse pas."

Il la défia du regard en saisissant un sein dans sa main, puis le lâcha pour la glisser sous son haut et le captura de nouveau sans gêne. Aux diables les quelconques spectateurs, on était à Ryoosei et ce genre de scène était tout ce qu'il y avait de plus fréquents, un couple en train de se faire des attouchements, à la différence près qu'ils étaient d'avantage rival que couple. Il le lisait dans ses yeux, elle n'avait pas peur de lui, pas même elle n'avait esquissé un geste pour l'en empêcher, c'était comme si elle s'y était attendue depuis le départ.

"Ensuite, je suis censé te déshabiller puis prendre mon pied avec toi."

Mais ça ne se passerait pas comme ça. Sanji eut enfin sa prise de conscience. Elle se jouait de lui depuis le départ. Cette situation était déplaisante, et nouvelle, c'est pourquoi au lieu d'essayer de se sortir de se guêpier, il admit intérieurement cette défaite face à la première qui avait tenue tête si longtemps.

"Qu'est-ce que tu pourrais faire pour m'arrêter si jamais l'envie me prend de le faire? D'autres atouts cachés qui me feraient perdre mes moyens?"

Elle ne semblait pas en être à sa première fois. L'aisance avec laquelle elle s'amusait avec lui était effarante. Et plus le temps passait, plus il voulait lui retirer ce sourire ironique sur son visage. Dans l'histoire, il n'avait jamais été qu'un pion, mais il était arrivé qu'un simple pion fasse changer la donne. Il fallait que ça arrive car sinon, il serait hanter par cette fille, sans arrêt, tous les jours et toutes ses nuits, intouchable et désirable. Jamais il ne sut pourquoi il lui demanda ce qu'elle avait l'intention de faire si par hasard il se mettait à mettre à bien son plan. L'allusion évasive à une arme pouvait tout autant être un bluff qu'une réalité, il ne pouvait négliger aucun facteur. Une veine battait sérieusement au niveau de sa tempe. Pourquoi est-ce qu'elle ne pouvait pas se donner comme n'importe qui et pourquoi est-ce qu'elle devait rendre les choses si compliquées. On pouvait voir sa machoire se serrer et se deserrer sans qu'il ne dise mot. Ses yeux étaient plissés, il la regardait comme pour essayer de lire en elle, voir un quelconque bluff dans une réalité. Les gens qui passaient se demandaient ce que ces deux personnes faisaient, l'un avec la main sur son sein, l'autre en train de lui sourire innocemment, probablement un couple de pervers qui allaient bientôt passer à la vitesse supérieure. Ah, comme il aurait aimé que ça soit le cas, la réalité était hélas toute autre.

Un nouveau frisson le parcourt à la description du reste de son corps. Ses sourcils sont de plus en plus froncés, c'était insupportable, tout bonnement insupportable de continuer de se faire insulter. Il lui cracha rageusement:

"Autant d'initiative qu'une jeune vierge? Fais attention à ce que tu dis!"

Peut-être qu'il en fut soulagé pendant un moment, mais la méfiance prit le dessus lorsqu'elle passa sa main dans son pantalon. Il réagissait d'instinct en prenant une forme plus qu'intéressante, et pourtant, elle était encore en train de se rire de lui. La fierté masculine exigeait qu'il s'offusque et qu'il soit hors de lui. Sa main serra fort le sein qu'il avait, son visage se rapprochait du sien, ils étaient presque collés, il pouvait sentir son haleine légèrement alcoolisée.

"J'en ai fait crié plus d'une avec ça, et tu vas également le ressentir."

Fort heureusement, il avait encore assez de jugeote pour éviter de faire ça en face de tout le monde. Il devait se contenir et ça commençait à devenir problématique. Son soldat plus bas grossissait à vu d'oeil dans son énervement. Le policier se trouvait dans une belle impasse. De plus, si quelqu'un le reconnaissait, il aurait des problèmes. Toujours, Sanji s'était débrouillé pour agir discrètement. Rageur, il finit par saisir la fille brutalement au bras et se leva.

"On va un peu s'isoler un peu... Viens!"

Malgré les menaces de l'étudiante, le policier avait perdu toute envie de jouer. Il la voulait, il la désirait tellement, qu'il ne pouvait plus se tenir. La main serrée sur sa poitrine témoignait de son désir. Autre chose illustrait également la chose, sous son pantalon tendu, le soldat était droit comme un piquet, un très bon calibre qu'il n'avait pas honte de révéler en général. Maintenant, il veut la prendre, tout de suite, mais pas devant les yeux de ces petits enfants, même si l'idée l'avait un moment tentée.

Il devait garder la tête froide encore quelques instants, juste le temps de trouver le coin parfait. La brusquerie dans ses gestes était propre à l'enfant qui tirait rageusement le jouet qu'il voulait, même si c'était illégal. L'étudiante, l'air de rien reprenait de sa mixture alcoolisée et se laissait entrainée parmi les arbres. Même, elle désigna un spot qui conviendrait parfaitement aux choses qu'ils pourraient faire. Juste pour ne pas avoir l'impression d'être le mené, mais le meneur, le soldat dépassa l'endroit avant de s'arrêter sous un arbre, entouré de buissons.

"Non, là c'est parfait..."

Elle voulait savoir ce qu'il allait faire? Le policier plaqua à terre la fille en lui palpant brutalement sa poitrine opulente et charnue. Pas un instant il n'avait songé à la tuer, il était peut-être violeur, mais pas tueur. Il pouvait faire couler du sang de ses victimes, mais ne leur laissait pas de cicatrices, il avait certains principes qu'il respectait, comme si cela lui permettait de ne pas se sentir coupable de ses actes.

Ses mains tremblaient avec l'émotion, il enlevait sa ceinture et ouvrait sa braguette pour dévoiler l'impressionnante colonne de chair qu'elle avait insultée précédemment. Maintenant qu'elle avait atteint sa taille finale, elle avait de quoi en mettre plein les yeux. L'homme avait un genou de chaque côté du bassin de l'étudiante et la regardait fixement avec un sourire un peu fou qui se fondit en un rictus mauvais parce qu'il ne parvenait vraiment pas à l'impressionner.

"Arrête de me regarder avec ce regard insolent! Tu vas... je vais... grrr..."

Ses deux mains puissantes se saisirent du visage de sa victime et la forcèrent impitoyablement à se rapprocher de son membre gonflé de désir pour assouvir son fantasme, celui de pouvoir enfin obtenir quelque chose de cette diablesse.

Loin du regard de tous, Sanji pouvait agir à sa guise, sans risque de se faire surprendre ou arrêté, le comble pour un policier. Le jeune homme voulait posséder l'étudiante, il l'avait entrainé avec lui, une certaine déception parce qu'elle ne se débattait même pas, mais de cette manière, il avait été plus facile de la mener là où il le voulait. Trop, il avait trop attendu, son pantalon menaçait sérieusement de craquer sous la tension qui s'imposait toujours plus forte. Elle avait le don de l'exciter comme personne ne l'avait jamais fait et il le lui faisait savoir en la pelotant brutalement. Sa poitrine était celle d'une déesse, moelleuse et douce sous ses mains, il avait remonté son haut juste au-dessus pour s'attaquer à son soutien-gorge qu'il arracha presque en le levant également. Doucement, ses seins se libéraient en dévoilant de jolies tétons roses qui n'aspiraient qu'à être léchés. Le policier riait alors nerveusement, il sortait son calibre, triomphant, il avait gagné finalement, oui, c'était lui qui avait eu le dernier mot. Elle avait eu beau lui résister, il avait toujours ce qu'il voulait!
Immédiatement, il lui impose de lui faire cette gâterie, chose à laquelle elle s'adonne avec savoir. Elle n'en était pas à sa première fois, c'était sur, elle le suçait parfaitement et son souffle se faisait roque. La violence qu'elle donnait lui-même à ses coups de tête montrait qu'elle ne se sentait pas si obligée que ça ce qui lui gâcha la moitié du plaisir. Pourquoi ne voulait-elle pas pleurer ou le supplier de la laisser partir? Cette vision érotique du filet de bave qui reliait sa bouche à sa colonne de chair le fit frissonner délicieusement et sans même qu'il ne lui ordonne, elle recommence un bon coup jusqu'à ce qu'un long râlement de satisfaction s'échappe de sa bouche. Le policier se saisit alors de ses collines et les écrase l'une contre l'autre, avant de passer sa longe verge entre elles. La salive laissait glisser la chose facilement et il s'amusait à donner des coups à son visage à chaque passage.

"Ah, tu es bonne de partout ma parole, je me demande si c'est tout aussi sympa par ici."

D'une main, il gardait sa poitrine en place et de l'autre, Sanji commençait à relever la jupe de sa victime, pas si dérangée que ça. Voilà, cet endroit intime de la femme, il allait souiller son sanctuaire contre son gré, quoique... Toujours pas une protestation, ses coups rageurs de bassin ne changeaient rien, elle avait toujours ce même visage, cette même expression et ces yeux, il aurait voulu les arracher plutôt que de voir devant lui ce défi qu'elle lui lançait encore, alors qu'il était clairement dominant. Une gifle vola sur son beau visage que se prit une autre série de coup de son gland. Le policier tremblait d'excitation, de colère, pleins de sentiments qui s'amassaient, comme aussi de la frustration.

Sanji a ce qu'il veut et pourtant, la satisfaction qu'il avait d'habitude n'était pas présente. Non, il manquait quelque chose. De la résistance, des cris, des supplications, tout ce qui faisait le charme de la chose, à croire qu'elle avait depuis le début prévu de lui gâcher sa victoire par tous les moyens possibles. Déjà, elle l'avait sucé comme personne ne l'avait jamais fait, et même, avait continué sans qu'il n'en demande. Il avait du reprendre les commandes en utilisant sa poitrine pour assouvir son envie, mais encore une fois, l'étudiante ne gémissait pas, elle ne réagissait même pas en recevant cette verge sur le visage. Fausse joie lorsqu'elle se met enfin à le supplier de la laisser partir. Aveuglé par ses pulsions animales, le policier ne voit pas qu'elle se moque de lui, du moins pas tant qu'elle ne rajoute ces dernières paroles qui le font monter d'un cran dans sa fureur.

"Arrête de te moquer de moi! Je vais te baiser jusqu'à ce que tu en crèves de plaisir et je vais te remplir entièrement, je vais y laisser jusqu'à ma dernière goutte pour que tu retires ce sale sourire de ton visage!"

Sa main se veut possessive, il descend plus bas sur son string et se prépare à le caresser lorsqu'elle le retire d'elle-même. Toujours surpris, il la voit faire avec effarement. Son petit plaisir, elle venait à nouveau de lui retirer son petit plaisir et se doigtait elle-même! Impossible, c'était tout bonnement impossible. Un cauchemars, voilà, elle était une diablesse, une créature d'un autre monde, elle jouait avec lui, elle jouait avec lui depuis le début.

De moins en moins sur de lui face à autant de détermination, Sanji finit par dégager la main de l'étudiante et descend plus bas en lui écartant les cuisses. C'était sa dernière tentative, il hésitait entre colère et une légère crainte face à cette fille. Aucune résistance lorsqu'il la prend, il commence des va et vients immédiatement brutaux qui le laissent savourer un moment ce petit plaisir de se trouver dans un endroit serré comme celui-ci.

"Voilà tu vois, dans tous les cas j'aurai ce que je veux! Je te remplirai, je te prendrai toute la journée, et on retrouvera ton corps inerte parmi les arbres! Je te ferai t'évanouir, je te ferai crier ton plaisir! Cri le!"

Rageusement, les coups de rein devenaient réellement puissants, même la plus grande des insensibles ne pouvait négliger cette colonne musclée et entrainée de chair qui allait et venait en elle. Le policier réalisa à ce moment là qu'il redoutait la prochaine action de l'étudiante, définitivement, elle allait encore faire quelque chose, lui couper l'appétit, le dégouter de cette victoire facile et trop consentante.

Alors que la fille était en extase face à sa réussite, le policier se renfrognait de plus en plus, extériorisant son manque par des actes brutaux et barbares. Elle n'avait pas été impressionnée lorsqu'il l'avait forcé à utiliser sa bouche, ni même lorsqu'il s'était servi de sa poitrine comme d'un passage pour son plaisir personnel, alors sa dernière option était de se tourner vers la dernière option, la dernière phase des évènements. Sa main fureteuse voulait la connaitre, mais elle-même était plus rapide ce qui enclencha une réaction en chaine. Nécessaire était pour lui l'impression de dominer les choses, c'est pourquoi il ne perdit pas plus de temps pour introduire son long membre au fond d'elle. Des frissons parcoururent son corps, d'un agréable inimaginable. Sa joie fut de courte de durée, puisque elle aussi était en train de grogner de plaisir au lieu de pleurnicher. Elle ne voulait jamais faire comme les autres, différentes en tous points, il la savourait et en même temps détestait la prendre, assez contradictoire n'est-ce pas?

Il ne vit pas la chose venir, si rapide, elle était passée dessus d'un coup. Le choc du sol contre son dos avait été brutal, mais son entre-jambe demeurait tellement compressée entre ses cuisses, que la douleur ne devint que détail parmi tant d'autres. Lui aussi soufflait comme un boeuf, il la dévorait des yeux, cette salle nympho qui retirait son haut pour laisser rebondir ses seins charnus. Le policier les prit alors dans ses mains, geste accompagné d'un râle un peu plus puissant. Il les serrait fort, pinçait ses tétons avec violence par vengeance. Leurs yeux se lançaient sans cesse de défi et en même temps, le plaisir était clairement visible, il lui embrumait momentanément l'esprit avant que sa voix ne revienne, toujours plus réelle, plus détestable, cette sale gamine.

"Je te dominerai, tu t'avoueras vaincue! Tu seras mienne corps et âme!"

Sa voix se faisait toujours plus sèche, plus menaçante et il la repoussa en rompant brusquement le contact qui les reliait tellement bien. Son membre reluisait du plaisir qui coulait de l'intérieur des cuisses de l'étudiante dont il s'approcha précipitamment pour la mettre à quatre pattes.

"Et je te monterai comme une chose, tu es ma soumise!"

Le policier passait ses mains sous son ventre pour relever ses fesses en sa direction, puis une envie soudaine le prit. Elle voulait jouer à la plus forte? Alors il allait lui montrer qu'il n'hésiterait sur rien pour la vaincre! Son gland s'appuya sauvagement contre son anneau de velours, le petit trou inexploré par sa personne. Il fallait qu'elle le sente passe de toute sa longueur, de toute sa grosseur, le policier éclata d'un rire fou en donnant des coups secs en avant. Brusquement, il parvint à la pénétrer, si chaude et serrée, encore une fois, il allait la prendre, la monter comme une bête, très vite, ses coups de rein sont bestiaux, il s'appuie sur son dos et sa poitrine s'écrase contre l'herbe fraiche qui est par terre. Sa bave coule légèrement sur le bas du dos de sa victime et le policier souriant triomphalement.

"Toi aussi tu te rappelleras de celui que tu pensais vaincre et qui t'auras vaincu sans aucun soucis..."

La violence dont il faisait preuve semblait avoir eu raison de l'étudiante qui ne pipait mot depuis un certain temps. Elle avait surement compris où était sa place et gémissait longuement. D'habitude, il aimait la position érotique de la femme le chevauchant, mais celle-ci avait, à son avis, besoin qu'on la remettre à sa place. Il se croyait réellement en compétition et se torturait l'esprit pendant que l'étudiante recevait tranquillement. Insupportable sensation d'être dominé par une personne de ce genre, le policier la repousse durement et revient très rapidement à la charge en lui ramonant l'intérieur des fesses. Aucun préliminaire n'avait été accordé, il avait compté juste sur la mouille qui couvrait son membre, c'est à dire, vraiment peu de choses. La résistance qu'il ressentit au départ était désagréable, mais l'idée de la percer jusqu'à ce qu'il puisse tout entrer le réjouissait au plus haut point. Au final, il allait et venait toujours plus durement, ses boules tapaient contre son vagin toujours plus humide avec son excitation.

Les encouragements de l'étudiante finirent par lui venir, cette fois-ci, il ne considéra pas ça comme une insulte, il saisit ses hanches et s'aida pour accélérer les claquements produits par le contact de son bassin contre ses fesses rondes. Joueur au plus profond de lui, il prit même son temps en alternant entre les deux orifices, avant de retourner dans le petit trou qui était béant, épousant parfaitement la forme de sa colonne de chair qui la transperçait sans cesse. Les râlements rapprochés de l'homme indiquaient qu'il se rapprochait vite de sa première limite, il n'allait pas lui faire de cadeau, il le lui avait promis, elle serait remplie. Son cri fut comme un triomphe, une victoire qu'il fêta en glissant toute sa verge au fond de l'anneau de velours et en lâchant sa semence chauffée. En se retirant, un mince filet blanc accompagna le bout de son gland.

A pas lent, il revint une nouvelle fois vers le visage de l'étudiante. Cette fois-ci, il voulait la voir gouter à son foutre, à son corps également, tout ce petit mélange, et qu'elle l'avale entièrement sous ses yeux. La main du policier se posait, en même temps qu'il lui tendait son membre, sur son vagin en y introduisant trois doigts, chose qui lui avait été refusée précédemment.

"Alors, tu aimes te faire prendre violemment, hein? Ta voix est magnifique lorsque tu jouis..."

Les temps changeaient et avec eux, les mœurs également. Lorsque les cris étaient au départ retenus, ou dissimulés juste pour le faire rager, maintenant ils étaient hauts et forts, elle laissait exprimer ses cordes vocales sans retenue. Chaque coup de rein était sujet à un nouveau grognement, un râlement de plus accompagné d'un claquement sur les fesses de sa partenaire de jeu. Le policier se laissait emporter par les sensations. Plus aucune résistance ne lui était opposée, il était le dernier survivant et prenait donc son trophée en s'en servant comme beau lui semblait. Non pas qu'il était conscient qu'elle avait une grande quantité de d'alcool dans le sang, mais il percevait une modification comportementale à son égard. Cela faisait quelques bonnes minutes qu'elle ne s'était plus retournée pour le regarder avec son sourire coquin, non, elle criait haut et fort alors qu'il ramonait son trou dilaté.

La promesse et la volonté de la souiller une première fois, il avait fait du bon travail en la remplissant de cette manière. Il avait senti ces contractions caractéristiques, avec un sourire béas il s'était laissé aller au fond de son entre qu'il avait transpercé avec violence. Lorsqu'il la regarde enfin, tiré de son espèce de transe, il la voit dans un piteux état. Elle est couverte de sueur, avec un peu de terre collée à son corps. Sa jupe est toute froissée par ses soins, et elle avait du mal dans ses mouvements. Pourtant, l'envie irrésistible d'elle n'était pas tarie, bien au contraire. Le policier laissa tomber à terre sa veste et son-shirt en dévoilant au grand jour un corps sculpté avec acharnement, l'oeuvre de journées entières à essayer de se maintenir en forme. Puis son pantalon tombe à terre, il se met dans sa tenue d'Adam et s'approche à nouveau de son visage. Elle parut à ce moment là presque ravie qu'il revienne, il le voit et son coeur manque de s'arrêter quelques instants.

"Attend... Redis ça pour voir?"

A ce moment là, sourire incrédule ornait ses lèvres. C'était trop beau, il avait conquis la fille avec maestria, quel talent! Elle était entièrement sienne, elle lui obéissait en reprenant dans sa bouche sa colonne de chair couverte de tous les fluides corporels. Ses yeux étaient maintenant différents, il y voyait, ce qu'il aimait voir, de l'obéissance, une acceptation de sa supériorité, comme cette récompense était douce, il s'était débattu pour l'avoir. Une certaine fierté également pour ne pas avoir abandonné dès le départ comme aurait fait un lâche, il avait été perturbé par l'attitude de l'étudiante, mais était resté accroché dans l'histoire.

Jamais une bouche n'avait un effet aussi dévastateur sur lui, maintenant, il allait continuer de la prendre alors, encore et encore jusqu'à épuisement. Le policier saisit soudain sa tête et impose le rythme en sachant pertinemment que sa taille rendait les choses difficiles. Qu'importe, si elle voulait bien répéter, si elle acceptait son rôle, alors elle n'aurait pas d'objection. Quelques minutes durant, il pénétra sa bouche d'où filtraient les sons de suffocation et de respiration précipitée lorsqu'il daignait retirer son membre quelques secondes. Sanji va jusqu'au bout, jusqu'à ce que son membre reprenne délicieusement ces contradictions, et dans un geste répété, rapide et ferme le long de sa verge, il se stimule pour l'arrivée prochaine.

"Tiens, ouvre grand la bouche, tu vas récolter mon jus!"

Le policier jubile comme jamais, il laisse la sauce sortir et ne se prive pas pour en envoyer sur son visage aussi. Tiens, elle était bien belle comme ça avec cette nouvelle crème de beauté. Et si obéissante, une esclave modèle?

"Maintenant dis-moi... Qui est ton maitre?"

Il voulait juste l'entendre dire, pour une satisfaction personnelle. Maintenant, son corps est sale, de la terre sur son ventre et ses seins, du sperme sur son visage et qui sortait de ses fesses, là, plus que tout, il la trouvait rayonnante et magnifique. Le policier se penche alors sur elle en passant ses mains autour de son bassin, puis à la force de ses bras, il la soulève pour la tenir contre lui, que ses jambes se resserrent autour de son bassin. Elle est un peu plus haute que lui, sa poitrine est au niveau de sa bouche alors il se met à la dévorer en faisant abstraction de la terre qui n'était qu'en quantité négligeable.

Le coup de sa peau et de ses tétons étaient exquis, et tout en plongeant son visage dans son sein rempli, il s'avance vers l'arbre le plus proche et l'adosse contre pour ne pas avoir à supporter tout le poids. Il se remettait à souffler, son excitation ne s'était pas vraiment éteinte, mais le calme était précédemment revenu, un petit repos avant la suite des festivités. Il allait l'empaler contre l'arbre et à nouveau la posséder par l'entrée naturelle cette fois-ci. Son désir farouche le poussa même à embrasser ses lèvres, choses qu'il ne se serrait pas permise au départ. Non, maintenant qu'elle était sienne, il se permettait absolument tout.

Aucun besoin de la prévenir, la surprise n'est que meilleure lorsqu'il s'introduit de son engin et reprend son activité en lui mordant le sein pour laisser une petite trace de dent. Sanji ne savait pas si c'était une réalité ou juste une impression, mais l'arbre semblait vibrer et trembler avec ses coups de rein. Dans cette position, il irait encore plus loin au fond de ses entrailles, le policier se délectait de l'expression de son visage, elle était tout bonnement magnifique, vraiment...